Auteur : Landmann Erhard
Ouvrage : Révélations sur le manuscrit de Voynich
Année : 2007
Lien de téléchargement : Landmann_Erhard_-_Revelations_sur_le_manuscrit_de_Voynich.zip
Le 17 décembre 2005 paraissait dans la "Frankfurter Allgemeine Zeitung", ainsi que dans d'autres journaux, un article sur ce qu'on appelle le Manuscrit de Voynich. Bien que je m'occupe d'études comparées des langues depuis 40 ans, et depuis 30 ans des écritures hiéroglyphiques en particulier, et que j'aie consacré tout un livre à leur déchiffrement ("Weltbilderschütterung - die richtige Entzifferung der Hieroglyphenschriften" = Bouleversement dans l'image du monde - le vrai déchiffrement des écritures hiéroglyphiques), je n'avais alors pas encore entendu parler du Manuscrit de Voynich. Pour moi il était clair - c'est ce que je montre dans mon livre - que nos égyptologues et autres archéologues, spécialistes des Assyriens ou des Mayas, n'ont jamais su lire le moindre mot de façon correcte sur les inscriptions et représentations anciennes. Bien évidemment un tel livre, publié voici 14 ans déjà, a été complètement ignoré des médias. On ne lui a guère prêté attention. Comme l'article dans la Frankfurter Allgemeine avait été écrit de façon présomptueuse et négligée par un journaliste qui n'y connaissait rien (titre : "Enfin un remède efficace contre la migraine"), et que j'avais encore bien des sujets d'études en cours à traiter, j'avais alors pensé que ce vieux manuscrit n'était vraiment pas si intéressant que cela, et je l'oubliai. Mais peu de jours plus tard, je reçus une carte de voeux de Noël d'un monsieur du Baden-Würtemberg, que je ne connaissais pas alors, et qui venait juste d'acquérir mon livre. Il en avait été très enthousiasmé et avait joint à son envoi la copie d'une page extraite du Manuscrit de Voynich, publiée par un autre journal que celui de Francfort. Je n'avais à l'époque pas de connexion Internet, mais pouvais me brancher sur le net pendant trois heures, une fois par semaine dans un club de seniors. C'est ce que je fis dans les semaines qui suivirent, et je pus enfin m'occuper du Manuscrit de Voynich. D'après ce que je savais, il était écrit dans une langue inconnue au moyen d'une écriture également inconnue. La plupart des gens en Allemagne ont chez eux un "Duden" (l'équivalent du "Larousse" français), ce qui leur permet de vérifier la bonne orthographe d'un mot. Ce Monsieur Duden fut l'un des premiers à vouloir donner à chaque mot une orthographe fixe et définitive. Toute personne qui s'occupe d'inscriptions anciennes sait qu'il n'y avait alors pas d'orthographe réglementée. Un mot, comme "aufsteigen" (monter) en allemand, pouvait s'écrire au sein d'un même texte : "ufstic", "uff stig", "ufsteic", "up stic", "ufstich", ou même d'autres variantes. Comme on le voit, il n'y avait également pas de frontières bien définies aux mots. C'est extrêmement important de faire ici cette remarque. Les mots pouvaient être découpés de manière différente ! C'est quelque chose qu'oublient tous nos chercheurs de l'Antiquité, les spécialistes des langues anciennes, les archéologues sans bonnes connaissances linguistiques, pourtant déchiffreurs autoproclamés. Cette réalité d'une lecture faisant intervenir des parties de mots de part et d'autre de l'espace entre eux, avec une lettre qui doit se lire avec le mot qui suit, ou un groupe de lettres qui concerne le mot d'avant, caractérise non seulement le Manuscrit de Voynich, mais également tous les textes mayas, aztèques, voire les textes latins - et c'est d'une extrême importance. ...
Havell Ernest Binfield - The ancient and medieval architecture of India
Author : Havell Ernest Binfield Title : The ancient and medieval architecture of India Year : 1915...